Semons 12 hectares de fleurs pour redonner un habitat naturel aux abeilles !

Goodeed s'associe à Noé et à Engie pour semer 12 hectares de fleurs pour redonner un habitat naturel aux abeilles !

Avec le développement de l’urbanisation et l’intensification de l’agriculture, les prairies françaises ont fortement régressé depuis plus de 20 ans, entraînant un net déclin des insectes pollinisateurs (abeilles, papillons, bourdons et syrphes). 🏙️

C’est dans ce cadre qu’est né le projet Les Prairies de Noé en 2009 dont l’ambition est de restaurer des zones d’habitat, de reproduction et d'alimentation en faveur des insectes pollinisateurs. 🦋

Les milieux ciblés par ce projet sont les zones agricoles, les abords d’infrastructures (routes, voies ferrées, zones aéroportuaires) et plus généralement l’ensemble des milieux herbacés dont la biodiversité est fortement dégradée. Grâce à des mélanges de graines de fleurs sauvages favorables aux pollinisateurs, Noé avec l’aide de ses partenaires, sème des hectares de prairies fleuries partout en France et observe ainsi le retour des insectes pollinisateurs sur ces espaces ! 🌻

L'objectifs du projet est de préserver et restaurer les habitats des abeilles et des insectes pollinisateurs sauvages. 🐝

Objectifs spécifiques :

1) Préserver et restaurer les milieux herbacés favorables aux insectes pollinisateurs.

2) Former les gestionnaires de ces milieux à la mise en œuvre de pratiques adaptées à la sauvegarde des pollinisateurs.

3) Évaluer ces pratiques et le retour de la biodiversité aux niveaux local et national.

4) Sensibiliser le grand public au déclin de la biodiversité en lien avec la destruction des milieux prairiaux et à la nécessité de changer nos comportements.

🌸 1000€ = 1 hectare de prairies fleuries semé 🌸

Résultats du projet :

Chaque année, près de 1000 hectares de fleurs sont semés dans le cadre du programme Les Prairies de Noé dans 70 départements français. Faisant l’objet de suivis floristiques et entomologiques, les résultats montrent que Les Prairies de Noé attirent :

- 3,3 fois plus d'abeilles que la végétation spontanée
- 10 fois plus d'abeilles que sur une fauche tardive
- 11 fois plus d'abeilles que sur un gazon

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